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Yves Wespisser : pourquoi le stockage de type cloud est-il montré du doigt ?


Aujourd’hui, la protection de l’environnement est devenue une priorité. Il est donc tout à fait normal que les activités polluantes soient pointées du doigt. Si auparavant les voitures étaient les plus montrées du doigt, ce n’est plus le cas en ce moment. En effet, le gouvernement incite la population à choisir des modèles plus respectueuses de l’environnement (voitures hybrides & électriques). On ne peut non plus pointer du doigt le secteur aéronautique puisque ce dernier se tourne petit à petit vers les biocarburants. Alors, qui doit-on blâmer alors ? Eh bien, la plupart des experts se questionnent actuellement sur l’impact environnemental du cloud. Dans cet article, notre expert yves wespisser nous explique pourquoi le cloud computing est pointé du doigt.

Le numérique et son impact environnemental, par yves wespisser

Fin 2021, une étude menée par le GIEC, un groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat a permis de ressortir des prévisions alarmantes. Selon Yves wespisser, c’est un avertissement à ne pas prendre à la légère. D’ailleurs, Alok Sharma, président de la COP26 (Conférence des Nations unies sur le changement climatique) a précisé que c’est « l’avertissement le plus sévère jamais lancé sur le fait que le comportement humain accélère de manière alarmante le réchauffement climatique ». Face à un tel constat, yves wespisser pense qu’il est important de s’interroger sur nos habitudes. Aussi, il faut prendre en compte l’impact environnemental du cloud. En effet, ce dernier est en grande partie responsable de ce qu’on appelle la pollution numérique. Dans un monde où internet est devenu indispensable, on a besoin d’un endroit pour stocker les données. Il faut savoir qu’on ne peut effectuer de recherche sur Google sans les centres de données. Or, une simple requête sur internet génère quelques grammes de dioxyde de carbone.

Le cloud computing : pourquoi est-il montré du doigt ?

cloud computing
crédits : pixabay

Smartphone, tablette, ordinateur, objets connectés de tout genre… ces appareils sont devenus indispensables dans notre quotidien. On s’en sert plus de 10 heures par jour. Et pour que ces derniers puissent fonctionner, il faut qu’il y ait des données stockées dans le cloud. Cependant, le cloud est aujourd’hui pointé du doigt parce qu’il est polluant. En effet, il n’y aura pas de cloud sans les data centers. Or, ces infrastructures sont tellement énergivores et sont responsables de 3% de l’émission de gaz à effet de serre. Pour le moment, la meilleure alternative que les acteurs de ce secteur ont trouvé est de déplacer les data centers dans des endroits froids. Cela permet de se passer des systèmes de refroidissement. Le cloud est aussi polluant parce qu’il engendre ce qu’on appelle l’infobésité. Il donne aux internautes l’illusion d’un stockage qui ne pourra jamais se saturer. Enfin, le cloud permet aux utilisateurs d’internet d’accéder facilement à des données et génère davantage d’activité. Or, comme cité ci-dessus, une simple activité sur le web signifie émission de CO2. Cependant, l’impact environnemental du cloud ne peut être que négatif. Selon yves wespisser, son utilisation permet aux acteurs du numérique de diminuer leur empreinte carbone.

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Marc
Je m’appelle Marc Besson, j’ai 41 ans, et j’ai toujours eu cette manie de vouloir comprendre avant de réagir. Je suis veilleur d’information indépendant, un métier discret et exigeant : je passe mes journées à analyser, trier, vérifier, recouper les faits. Pendant que d’autres scrollent, moi, je filtre. Je mets en lumière ce qui compte, j’écarte ce qui pollue. Et sur mon blog, Le Fil Tendu, je tente de raccorder l’actualité à ce qu’elle déplace en profondeur. Mon approche ? Loin de la course au clic, proche du réel. Je ne cherche pas le scoop : je cherche le sens derrière le bruit, le fil rouge dans la mêlée. Je m’intéresse à la manière dont les nouvelles circulent, s’enflamment, se transforment. J’écris sur l’actualité politique, sociale, médiatique, mais avec le souci constant du lecteur : pas de jargon, pas de sensationnalisme. Seulement de la clarté, de la rigueur… et un ton libre. Ma particularité ? Je suis aussi luthier amateur. Le soir, je travaille le bois, j’ajuste des cordes, je redonne vie à des instruments anciens. C’est dans cet artisanat lent et précis que je trouve mon équilibre. Et finalement, c’est la même logique que dans l’analyse : écouter les vibrations, ajuster la tension, viser l’harmonie. 📌 Ce que vous trouverez sur Le Fil Tendu : – Des décryptages de l’actualité française et internationale, toujours contextualisés – Des articles sur la manière dont les médias traitent (ou tordent) l’information – Des veilles thématiques sur des sujets en cours (éducation, écologie, culture numérique...) – Des réflexions sur notre rapport au flux d’information, à la mémoire collective, au vrai – Et parfois, une parenthèse en atelier : le son d’un bois restauré, le récit d’une réparation, comme un écho au travail d’écriture Je crois que l’information mérite d’être traitée comme un instrument délicat : avec doigté, écoute, précision. Et si tu cherches un endroit pour lire moins, mais mieux, tu es au bon endroit.
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